Glissé au centre de ce numéro, un poster 2 pages d'une photo de Gonzague Zéno, contacté après avoir vu un de ses montages sur la pochette du très beau 45 tours Toute une vie sans te voir et qui m'a gracieusement donné un tirage. Egalement, deux pages photocopiées.
Fin 1980, Harmonies est maintenant imprimé par WEA, qui y insére une page d'autopromo comme justification (dans ce numéro, l'album de Bernard Swell). J'aime bien ce numéro, plus varié que le précédent, et dans lequel j'avais tenu à parler des concerts de Michel Berger et d'Alain Chamfort, malgré le temps écoulé entre leurs dates et la parution de ce numéro.
Ne pas avoir pu rencontrer Michel Berger est évidemment un immense regret. Cette année-là, quelqu'un de bien intentionné me donne un numéro de téléphone pour essayer d'avoir une interview. Au bout du fil... France Gall. J'étais tombé Villa Beauséjour ! J'explique que je souhaiterais faire une interview de Michel pour un "petit fanzine musical" et très gentiment, elle me répond qu'il vaut mieux joindre leur attaché de presse pour cela, et qu'ils sont "toujours prêts à aider les journaux qui démarrent." Croisant un peu plus tard Grégoire Colard (leur attaché de presse, donc) au Palace, je lui demande sans trop y croire s'il y a un espoir d'interview, détaillant ce qu'est Harmonies. Il me répond que bien sûr "la porte est fermée". Et lorsque je lui dis que pourtant, dans les chansons de Michel "la porte est grande ouverte", il me répond : "Si vous travaillez pour Véronique, vous savez ce qu'il en est". NB : Grégoire Colard est aujourd'hui un ami, co-auteur d'une intéressante bio de Michel Berger (L'étoile au cœur brisé, octobre 2009).
Dans ce numéro, une rapide rencontre avec Violaine, sœur de Véronique. En relisant ses réponses, je suis encore frappé par sa grande capacité d'analyse. Elle a le don de faire le tour de chaque question, de se positionner selon plusieurs angles, d'anticiper certaines réactions. Pas de fausse modestie, pas de pêche aux compliments, un juste équilibre...
Avec ce numéro, l'arrivée de Catherine Dréano, qui prend des photos mais n'écrit pas.
Bonjour Monsieur Calut,
RépondreSupprimerJe visite votre blog pas assez souvent tellement il est riche. Je souhaitais juste vous dire que la photo dans la loge de Véronique me fait mourrir de rire. Je l'ai enregistré et publié sur le forum officiel avec la mention de votre copyright dans un sujet consacré à votre travail et par humour car je suis pris à partie en ce moment par quelques individus énervés. Si cela vous gêne, je l'enlèverais.
Julien
pas de problème, Julien !
RépondreSupprimer"quelques individus énervés" par quoi ?
Un bonsoir tardif. Enervés par quoi, je n'en ai fichtre aucune idée. C'est peut-être l'idée de la poule et de l'oeuf ou encore qui se proclame dépositaire de la vérité absolue. Rien de bien grave. Votre travail est apprécié dans une grande majorité et c'est mérité.
RépondreSupprimerJulien