"Numéro ultime". Avec un point final. Quel cinéma ! ;-)
Ce numéro semble le plus abouti, même si les pages s'ouvrent peut-être un peu trop à Katia Miramon, à mon ami Egon Kragel, très présent aujourd'hui sur internet avec un blog poético-photographique là – et pas suffisamment à Véronique directement. Tout y est propre, bien rangé (les crédits sous l'édito), il y a des filets un peu partout. Bien sûr, il y a encore ce motif léopard pour rappeler qu'on est bien dans les années 80 ("A decade that taste forgot", comme disent les Anglais).
Pourquoi arrêter ? well, d'abord ce journal n'avait plus vraiment de raison d'être : Véronique vivait en France, avait un bon attaché de presse ; on parlait d'elle dans les médias, on la voyait plus souvent à la télé. Plus besoin de relais. Mais surtout, l'aventure piétinait : plus grand monde à interviewer, pas grand chose à raconter, l'impression d'avoir (déjà) fait un peu le tour de la question...
Et puis, mine de rien, ça représentait beaucoup de mon temps libre !
Je suppose aussi que j'espérais inconsciemment qu'il se passe quelque chose de nouveau. Je crois à une certaine "théorie de la disponibilité" : on ferme une porte, alors une autre s'ouvre, qui débouche sur une nouvelle aventure... Mais ce ne fut pas le cas. Il fut juste question peu après - à la faveur d'une rencontre dans les coulisses d'un concert de Véronique avec une fille dynamique et ambitieuse et dont j'ai hélas oublié le nom - de monter un fanzine pour tous les artistes Warner. Il y eut même un rendez-vous pris avec Jean-Pierre Bourtayre, alors directeur de production, mais personne n'était vraiment emballé - moi y compris pour être tout à fait honnête...
A suivre, prochainement, une interview que j'aurais aimé réaliser en 1981... Mais les choses se font en leur temps...
Ci-dessous, l'ultime Newsletter, glissée dans le journal, suivie de la page que j'envoyais aux nouvelles demandes d'abonnement...
Ce numéro semble le plus abouti, même si les pages s'ouvrent peut-être un peu trop à Katia Miramon, à mon ami Egon Kragel, très présent aujourd'hui sur internet avec un blog poético-photographique là – et pas suffisamment à Véronique directement. Tout y est propre, bien rangé (les crédits sous l'édito), il y a des filets un peu partout. Bien sûr, il y a encore ce motif léopard pour rappeler qu'on est bien dans les années 80 ("A decade that taste forgot", comme disent les Anglais).
Pourquoi arrêter ? well, d'abord ce journal n'avait plus vraiment de raison d'être : Véronique vivait en France, avait un bon attaché de presse ; on parlait d'elle dans les médias, on la voyait plus souvent à la télé. Plus besoin de relais. Mais surtout, l'aventure piétinait : plus grand monde à interviewer, pas grand chose à raconter, l'impression d'avoir (déjà) fait un peu le tour de la question...
Et puis, mine de rien, ça représentait beaucoup de mon temps libre !
Je suppose aussi que j'espérais inconsciemment qu'il se passe quelque chose de nouveau. Je crois à une certaine "théorie de la disponibilité" : on ferme une porte, alors une autre s'ouvre, qui débouche sur une nouvelle aventure... Mais ce ne fut pas le cas. Il fut juste question peu après - à la faveur d'une rencontre dans les coulisses d'un concert de Véronique avec une fille dynamique et ambitieuse et dont j'ai hélas oublié le nom - de monter un fanzine pour tous les artistes Warner. Il y eut même un rendez-vous pris avec Jean-Pierre Bourtayre, alors directeur de production, mais personne n'était vraiment emballé - moi y compris pour être tout à fait honnête...
A suivre, prochainement, une interview que j'aurais aimé réaliser en 1981... Mais les choses se font en leur temps...
Ci-dessous, l'ultime Newsletter, glissée dans le journal, suivie de la page que j'envoyais aux nouvelles demandes d'abonnement...
© Valérie Thieulent
© Christine Le Mentec
Le 6 novembre de la même année, dans Libé, cette interview de Véronique par Alain Pacadis, chroniqueur mondain, incontournable noctambule pilier du Palace (photo Claude Gassian).
Magnifique une fois de plus et très généreux de mettre ces pépites sur le net. J'avoue que j'ai eu un peu peur par le titre du message mais je lis dans sa partie finale "Egalement, à suivre prochainement, une interview que j'aurais aimé réaliser en 1981... Mais les choses se font en leur temps..." Donc je suis rassuré.
RépondreSupprimerEt puis je suis content car j'ai décrypté : "Pour ce qui est des Newsletters perdues, je devrais bientôt pouvoir les réintégrer à leur place : ai trouvé quelqu'un en Corse qui les a gardées. Merci à elle !" . En Corse du Sud, Ajaccio, si je ne me trompe pas, L....A que je remercie donc aussi indirectement. Je vais rappeler "de ce pas",dans un court message de mon blog ta si belle et chaleureuse contribution aux "rayons" de Véronique.
Amicalement.
Merci Laurent de nous faire rajeunir de trente années en un clic. J'ai presque toutes ces pépites en papier. Il nous fallait être très patient pour pouvoir les lire. Aujourd'hui tous ces numéros en une seule fois. Merci pour tous les amoureux de Véro.
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