Ce numéro 7 est encore un numéro que j'aime bien. Il m'a permis de rencontrer quelques "morceaux du passé-puzzle" de Véronique, Claude-Michel Schönberg, François Bernheim, de m'intéresser aux Roche Martin (incroyable biographie de chez Pathé reproduite page 15, textes de Maria de Tusha page 18), bref de fouiller une époque qu'encore aujourd'hui je regrette intensément de ne pas avoir vécue...
Pour ce qui est du court-métrage Room Service (pages 6-7), je ne l'ai finalement jamais vu. Dommage qu'il ne figure pas sur un des dvd de l'intégrale. Deux des tirages couleurs pris par Katia Miramon :
On retrouve le fac similé du manuscrit de C'est le moment dans l'excellent ouvrage de Yann Morvan sobrement intitulé Véronique Sanson, aux éditions DLM (juin 1995).Côté mise en page, pour ce numéro j'essaye le noir comme fond de page et je m'amuse à faire des collages. Bien sûr, je n'ai aucune notion d'impression, de fond perdu (le fait de laisser de la "matière à la coupe"), je coupe les photos bien à ras de la page... L'imprimeur devait bénir mes maquettes totalement amateur...
Les grandes portraits de Véronique proviennent d'un stand de photos des puces de Clignancourt, stand qui n'existe plus.
On trouve souvent dans ces pages un mélange d'anglais et de français qui devait être un peu irritant... Pour ma défense, outre le fait que j'écoutais beaucoup de musique anglaise à l'époque, je travaillais pour une banque américaine dans laquelle la pratique de la langue anglaise était bien sûr un avantage. Ce qui n'empêchait pas de m'y ennuyer ferme. Je me rappelle un midi avoir profité d'être seul dans le service pour passer un coup de fil à Orgeval d'où Véronique avait proposé de me faire "un mot d'excuse" pour que je puisse venir goûter les tomates à la provençale qu'elle était en train de préparer...
Glissée dans ce numéro, cette Newsletter pour mettre à jour certaines infos périmées à cause du très long délai d'impression :
Les grandes portraits de Véronique proviennent d'un stand de photos des puces de Clignancourt, stand qui n'existe plus.
On trouve souvent dans ces pages un mélange d'anglais et de français qui devait être un peu irritant... Pour ma défense, outre le fait que j'écoutais beaucoup de musique anglaise à l'époque, je travaillais pour une banque américaine dans laquelle la pratique de la langue anglaise était bien sûr un avantage. Ce qui n'empêchait pas de m'y ennuyer ferme. Je me rappelle un midi avoir profité d'être seul dans le service pour passer un coup de fil à Orgeval d'où Véronique avait proposé de me faire "un mot d'excuse" pour que je puisse venir goûter les tomates à la provençale qu'elle était en train de préparer...
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