Sur scène, 1977

Au Macumba de Bordeaux, juillet 1977

 (anonyme) 

 (anonyme) 

 (anonyme) 

 Marbella, juillet 1977

 (anonyme)

Le Canet-Plage, 11 juillet 1977 

© Christian Redonnet

(anonyme) 

© Serge Assier (Merci Nicolas)

 (anonyme) 

Photos agrandies de deux planches anonymes (Bretagne, 1977)

Merci Yann (Morvan, who else?)

(anonyme)

© François Gaillard

Ci-dessous avec Eric Estève et Gilles Valiquette
au concert gratuit et en plein-air d’Aulnay-sous-Bois le 4 juin 1977

© L. Calut

Deux photos vraisemblablement du même concert...

© Christine Bierre

La cassette de 1977

En 1977, l’enregistrement du premier 45 tours de Véronique chez ses parents ne s’est jamais fait : le magnétophone ne marchait pas. Et, grâce à la confiance de Colette Sanson, je suis reparti avec ces “perles” sous le bras, pour les enregistrer chez moi... Il y avait bien Le feu du ciel"/"Le printemps est là, sans pochette. Et, plus intrigant, ce qu’on appelait un “souple"” (et qui, en fait, pesait plus lourd qu’un 45 tours commercialisé) sans pochette et sans aucune mention...
À l'écoute, deux titres totalement inédits pour mes oreilles : Panne de cœur et Une odeur de neige.
Après l’enregistrement et pour qu’il soit mieux conservé, je bricolais une pochette en papier, tapant les textes à la machine et collant une photo dessus tirée de Salut. N'ayant pas d’information, je baptisais le second titre Je voudrais le revoir. Cette pochette que je pensais ne jamais revoir, j’ai eu la joie de la reprendre en mains récemment, plus de 30 après... L'acétate était resté toutes ces années chez les parents Sanson.
Chaque fois que je réécoute ces démos, je suis transporté instantanément dans la chambre de bonne de l’appartement du rond-point. La voix de Véronique, avec cette façon si particulière de faire siffler les je, me touche particulièrement. À noter : on retrouve ces versions dans l’intégrale, sur le CD 1 (Maquettes acétate, 1969, titres 14 et 15).
Plus tard, Colette Sanson m’offrait un autre 45 tours “souple” : la démo de Quand michel chante par Michel Berger. Ce titre, qu’il n'a jamais enregistré lui-même, était destiné à Isabelle de Funès (qu'elle a enregistré en 1968). Sur la pochette, le nom de Michel, d'une écriture difficile à identifier... C'est un fait : Colette, Véronique et Michel Berger ont pratiquement la même écriture !
Ce titre est en ligne avec des photos de la pochette et des captures d'écran de télés de Michel ici.